
Comme annoncé le mois dernier, voilà un mois bien prolifique en termes de lectures ! L’un de ceux durant lesquels j’aurai le plus lu.
13 livres ont accompagné ce mois de novembre et j’ai enfin pu libérer un peu de place dans mes bibliothèques (vite comblée par des réceptions de la rentrée littéraire mais nous en reparlerons) !
Parmi ces 13 livres, quelques belles découvertes avec Minh Tran Huy ou Aharon Appelfeld que je lisais pour la première fois, l’un comme l’autre. Mais aussi le plaisir de retrouver les plumes de Barbara Pym, de Jean Teulé et d’Oscar Lalo. Des coups de cœur aussi ce mois-ci avec notamment Durian Sukegawa et Anne Berest.
On l’aura compris, cet avant-dernier mois de l’année aura été très agréable livresquement parlant, m’amenant doucement vers la conclusion d’une année de lecture diversifiée et pleine de bons moments.
Quatuor d’automne de Barbara Pym
La Petite Menteuse de Pascale Robert-Diard
Soie d’Alessandro Baricco
Le dernier mort de Mitterrand de Raphaëlle Bacqué
Le Salon d’Oscar Lalo
Azincourt par temps de pluie de Jean Teulé
Le garçon qui voulait dormir d’Aharon Appelfeld
Les délices de Tokyo de Durian Sukegawa
Femmes bourreaux de Barbara Necek
La carte postale d’Anne Berest
La double vie d’Anna Song de Minh Tran Huy
La Géante de Laurence Vilaine
La petite sonneuse de cloches de Jérôme Attal
De jolies sorties aussi en ce mois de novembre annonciateur des fêtes de fin d’année. Au Musée Yves Saint-Laurent d’abord pour plonger dans l’univers du couturier. Une exposition baptisée Gold, les Ors d’Yves Saint-Laurent et qui marque les 60 ans de la première collection Saint-Laurent.




Au Petit Palais ensuite grâce auquel j’ai une nouvelle fois découvert des artistes que je ne connaissais pas du tout et dont les univers m’ont tout a fait fascinée. Et en premier lieu celui d’André Devambez, artiste touche à tout de la Belle Epoque capable d’un humour débridé comme de la plus grande gravité. Puis Walter Sickert, présenté pour la première fois en France. Un peintre singulier et d’une grande modernité.








Et parce que Noël n’était pas loin, quoi de mieux qu’une petite virée dans les allées de la Samaritaine ? Magie assurée avec la présence de l’Opéra national de Paris qui présentait une sélection de costumes de ballet signés par de grands couturiers.



