Étrange mois de mars 2020. Ce mois de renouveau qui annonce le printemps est aussi celui où le monde se retrouve confronté à un virus mortel qui nous amène à être confinés et à prendre la mesure du dévouement de tous ceux qui sont en première ligne face à la maladie.
Comme beaucoup, je me suis retrouvée en télétravail, oscillant entre plaisir de ne pas prendre les transports, de profiter de ma maison, de trouver un nouveau rythme (lever plus tardif, intégration de moments de méditation à ma routine quotidienne, plus de temps consacré au yoga) et inquiétude pour mes proches dont certains sont déjà très fragiles.
La lecture a été ce mois-ci un moyen d’échapper à toutes ces informations terrifiantes auxquelles nous sommes confrontés quotidiennement, une fenêtre ouverte vers la liberté, une échappatoire au confinement auquel nous sommes soumis et que je respecte scrupuleusement.
14 livres sont ainsi venus occuper mon esprit et me permettre une évasion bienvenue. Pas de déceptions ce mois-ci, mais des coups de cœur et de belles lectures qui ont été autant d’instants de joie (lien vers mes chroniques en cliquant sur le titre).
Coups de cœur
La mère morte de Blandine de Caunes
Forte tête d’Edith Ayrton Zangwill
La femme révélée de Gaëlle Nohant
Belles lectures
Long Island Story de Rick Gekoski
Albert Camus, journaliste de Maria Santos-Sainz
Lame dame flamme d’Yves Herlemont
Heureuse fin d’Isaac Rosa
Les Ribkins, héros de père en fils de Ladee Hubbard
L’enterrement de Monsieur Léon de Michael Federspiel
Le théâtre des nuits de Carl Aderhold
Nuits d’été à Brooklyn de Colombe Schneck
La belle Hélène de Pascale Roze
En vérité d’Yves Gaudin
Les plus observateurs d’entre vous auront constaté qu’il y a dans cette liste 13 et non pas 14 livres. L’un des livres lus en mars n’a en effet pas été chroniqué.
Christlbouquine 
14 livres au mois de mars : je suis admirative ! J’attends les prochains posts, alors. A bientôt.
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