
Un cadavre est retrouvé dans le coffre d’une voiture dissimulée dans un bois. Un corps qui pourrait bien appartenir à Stuart Bloom, un détective privé qui a disparu depuis plus de dix ans. Une découverte qui relance l’enquête et fait ressurgir un certain nombre de secrets.
En parallèle, une enquête « officieuse » est menée par John Rebus sur le meurtre d’une jeune fille pour lequel son petit ami a été emprisonné.
J’avoue ne pas avoir été captivée par cette enquête dans laquelle je me suis un peu embourbée entre les personnages, les mobiles des uns et des autres et l’enquête parallèle.
« Rouvrir une vieille affaire est justement l’occasion parfaite de propager de nouveaux mensonges et de nouvelles médisances. Et j’apprécierais simplement d’être tenu au courant de temps à autre, en toute confidence. En retour, je serai en dette avec vous. »
L’enquêteur retraité John Rebus, personnage récurrent des romans de Ian Rankin, m’a semblé un peu dépassé et je ne me suis pas particulièrement attachée à la plus jeune, Siobhan Clarke.
On navigue entre flics ripoux et hommes d’affaires véreux. Les éléments se mettent en place petit à petit mais le suspens n’est pas d’une intensité folle.
« Ils étaient debout face à face, séparés de quelques dizaines de centimètres. Fut une époque où ils auraient déjà été partants pour un pugilat en règle, mais aujourd’hui qu’ils craignaient l’un comme l’autre d’avoir le dessous, les mots devraient se suffire à eux-mêmes. »
Passées les cents premières pages, mon intérêt a été un peu plus éveillé mais pas de frémissements de suspens ou de surprises de rebondissements incroyables.
Et la fin m’a seulement amenée à un « tout ça pour ça ».
La maison des mensonges – Ian Rankin (Le Masque – juin 2019) – Avec NetGalley
Il m’attend…A suivre ! Bon dimanche !
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Bonne lecture, j’espère que tu aimeras.
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Rébus n’est pas mon personnage préféré de cet auteur.
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C’était mon premier roman de Ian Rankin. Peut-être qu’il y en a d’autres qui pourraient me plaire
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